De visions infernales en visions infernales, laissons-nous glisser dans les tableaux fous de Norbert Pfaffenbichler
Jérôme Bosch est mort, vive Norbert Pfaffenbichler, cinéaste autrichien expérimental et punk qui nous entraîne dans son propre jardin des délices, peuplé d’horreurs, de sexe déviant, d’extrême violence, d’hallucinations grotesques qui ignorent le bon goût. Pfaffenbichler ne connaît pas le tabou et nous livre aux fantasmes obscènes de son monde souterrain tel qu’il nous l’avait déjà soumis dans 2551.01, premier volet de cette trilogie. Que la musique soit baroque ou électro, l’artiste nous invite à ses chorégraphies transgressives, entre cinéma et performance.